DEPART POUR STOCKHOLM

Départ pour Stockholm . Après les journalistes et les courses en super marché on s’arrête pour manger à Soderkoping à 188 km du camping à Sollentuna, entre Stockholm et l’aéroport d’Arlanda où on récupérera Geneviève demain soir. On pique nique en bordure d’un pont routier qui se relève toutes les 30 minutes pour laisser passer les bâteaux. On assiste au spectacle du passage d’un vieux voilier superbement restauré. Avant le camping on traversera Stockholm avec des énormes bouchons et des travaux un peu partout. Les GPS s’affolent mais on arrivera quand même à bon port. Il faut très beau, très chaud, on voudrait bien que ça dure ; on rêve peut-être un peu en buvant l’apéro. Repas devant nos deuch qui ont roulé sans aucun souci, même celle de Claude qui ne démarrait pas à chaud, nous évite maintenant la poussette. Partie de pétanque avant de dormir et première attaque des moustiques sur le crâne de Patrick. Il va falloir sortir les protections (voir photos article précédent). Demain repos ; on a fait 3337 km. Au chapitre des coucous : De la part de Claude : de gros bisous à Patrick et Régine, amitiés à Stéphanie de Hyères et Jean Claude de Toulon. De la part de Patrick et Michèle : gros bisous à Laurent, Sandra, Bastien, Laurence, André et Irène , Gérard ; Sans oublier Marie Pierre de Provence. Mercredi 24 juin : journée de repos au camping de Sollentuna ; on en a profité pour ranger les voitures, faire de la lessive, découvrir les abords du lac du camping. Jean Marie et Claude sont allés chercher Geneviève le soir ; c’est Claude qui était content. Jeudi 25 : Beaucoup de route (450 km). A la halte de midi au bord d’un lac, René, Patrick et moi avons sorti les cannes à pêche ; René a fait la première perche. Les autres : rien. Arrivée à Ramvik , joli cadre dans un petit camping où René nous pêche une seconde perche avant le repas. Vendredi 26 juin : Encore une journée chargée en kilomètres (421), toujours sous un grand soleil. On a croisé la route de 2 élans, ce sont les premiers et nous espérons en voir encore beaucoup d’autres. Arrivée à Pitéa dans un immense camping. Rien à voir avec celui de la veille. Claude s’inquiète pour son embrayage, Jean Marie répare son siège ; Patrick est le seul qui n’a encore rien eu ; on touche du bois pour lui et pour nous tous. Malheureusement pour l’instant les connexions internet sont difficiles et ne nous permettent pas de vous joindre des photos. On espère que ce sera pour bientôt. A plus tard.